1968
(Granata)
rip 45t 320k
Enfin, après de longues semaines de rideaux baissés pour cause de covid les restos ont rouvert ! Ok, trois mois dans une vie sans un steak frites il y a pire supplice. Néanmoins, je tenais à fêter mon retour hier dans ma brasserie préférée en proposant ce 45t inouï (c’était l’occasion ou jamais pour tout dire :) Disque, à la base, uniquement acheté pour la pochette et les titres amusants. A l’écoute, est-ce qu’il vaut les picaillons ?… Heuuu… Je vais juste dire que s’il plait à une personne, ce sera déjà ça.
Sinon, je n’ai jamais entendu parler ni de ce chanteur, ni de ce label. Qui devait couvrir un territoire assez limité. Mes amis belges ne me contrediront pas je pense.
Et conclure en disant que ce genre de chansons est désuet est un doux euphémisme. En 1968, à l’heure du « Electric Ladyland » d’Hendrix, du « Waiting For The Sun » des Doors ou encore du « Initials B.B." de Gainsbourg… Le décalage prend la forme d’un gouffre !
A) Smak, Smak, Smak (Nikuta, G. Lancier - S. Rowan)
B) Beefsteak Frites (Nikuta, G. Lancier - S. Rowan)
lien de secours
Salut
RépondreSupprimerle gugusse a aussi repris la chanson
de Joe Dassin, La Complainte De L'Heure De Pointe
avec ce titre magique "ZONDER BIER"
dans le genre "Chef, un p'tit verre, on a soif"
.
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on ecoute et on s'en va
meme moi qui aime ces betises en d'autres langues, je passe vers d'autres horizons musicaux oh oh oh
A vrai dire Guske et Joe ont chacun chanté deux adaptations différentes de ce titre étranger :
Supprimerhttps://www.bide-et-musique.com/song/21014.html
Bon dimanche !
Je suppose qu'il chante en flamand. Pas très moderne, en effet.
RépondreSupprimerUn beefsteak frites ? Pas vu ça depuis des mois non plus. Restaient la bière, le pif et les pizzas, heureusement.
Cela dit, est-ce que ça a été moderne un jour ?...
SupprimerOOOOOOh oui des frites ... des vrais, faites dans le l'huile, j'en rêve !
RépondreSupprimerFrites ou maillot, va falloir choisir ! :)))
Supprimerce serait un des nombreux pseudo de Gérard Manset....
RépondreSupprimerUn texte d'une rare précision sociologique sur les habitudes culinaires dans différentes contrées et qui dans le second couplet se permet une comparaison culinaire judicieuse entres certains mets haut de gamme et le plat populaire évoqué dans cette chanson, tout ceci avec un accompagnement musical précis et rendant hommage au classicisme des mélodies villageoises d'après-guerre, j'estime que Monsieur Guske Lancier a très certainement côtoyé grâce à cette oeuvre si personnelle les meilleures complaintes du panthéon folklorique des années soixante.
RépondreSupprimer:)
Tu étais son agent ? mdr !!!
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