1970
(Columbia)
rip 33t 320k
Il y a quelques jours a été diffusé « Bécaud and co » sur LCP. Epatant programme plaçant Gilbert Bécaud et ses chansons dans des décors colorés et graphiques, avec des mises en scène d’un J.C. Averty débordant d’idées. Visuellement, c’était époustouflant de voir à l’écran tout le travail accompli afin de rendre ce spectacle moderne, poétique et intelligent. Gilbert Bécaud virevoltant dans les différents tableaux et installations conçus pour coller à chacune des chansons.
D’où l’envie de réécouter les disques de cette période, et notamment ce disque en concert. Avec un Bécaud survolté (pléonasme !) accompagné par un orchestre idem. Il y a une réelle différence avec les versions en studio. Voila du live, du vrai ! Seul regret, dommage qu’il ne soit pas double.
Les pinailleurs, toujours prompts à la critique, ne manqueront pas d’écrire que, même si cet album n’a pas été réédité entièrement sur CD, il est disponible sur les plateformes. Ok, mais perso ma démarche est de, modestement, remettre en lumière des artistes et/ou des disques injustement mis de côté. En cela Gilbert Bécaud, comme Guy Béart, Mouloudji, etc… Méritent amplement leurs places sur mon blog et ceux des copains. A défaut de celles perdues sur les radios et télévisions.
PS 1 : Les deux faces sont livrées non découpées. C’est souvent préférable pour les enregistrements en concert. Après, libre à vous…
PS 2 : « Un petit, tout petit miracle » était alors un titre inédit.
Face A
La solitude ça n'existe pas (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud)
L'Homme et la Musique (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud)
Je t'appartiens (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud)
L'Aventure (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud)
La Vente aux enchères (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud)
Face B
À remettre à mon fils quand il aura seize ans (Louis Amade/Gilbert Bécaud)
Le Bain de minuit (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud)
Un petit, tout petit miracle (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud)
Charlie t'iras pas au paradis (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud)
Quand il est mort le poète (Louis Amade/Gilbert Bécaud)
Le lien qui existe