1971
(Philips)
rip 45t 320k
Lally Stott n’aura pas eu le temps de profiter longtemps du succès. Ayant perdu la vie en 1977, dans un accident alors qu’il roulait paisiblement à vélo. Il n’avait que 32 ans.
C’est sûrement pour ça que je n’avais jamais entendu parlé de lui. Et à l’écoute de ce 45t, je me dis que c’est vraiment dommage qu’il soit oublié. Car le gars avait un réel don pour écrire des chansons hyper accrocheuses.
D’ailleurs c’est à lui qu’on doit le tube inoxydable « Chirpy Chirpy Cheep Cheep », par Middle of the Road, mais chanté aussi par lui-même. En fait il a également co-signé quelques autres tubes de Middle of the Road, dont « Samson and Delilah », « Sacramento ».
Il a sorti un seul album en 1971, pas réédité à ma connaissance, où l’on retrouve les deux titres de ce 45t, mais aussi « Chirpy Chirpy, Cheep Cheep ». Celui-ci coûte bonbon, malheureusement. Voici toujours ce 45t, histoire que vous vous fassiez une idée du zig.
A) Jakaranda (Stott)
B) Love is free, love is blind, love is good (Stott)
Arranged and produced by L. Stott
lien de secours
Bonne pop anglaise à l'ancienne comme j'aime... :-)
RépondreSupprimerJe viens de me rendre compte que un homme... :-D
J'ai son 45 " Chirpy Chirpy, Cheep Cheep " (pas encore enregistré) et vue la pochette et le prénom, je pensais que c'était une femme....
Ca vaut vraiment le coup de le partager. D'une, pour connaître l'original, de deux, parce que c'est introuvable en CD et parce que la face B est inédite.
SupprimerJe m'en occupe dans la journée...
RépondreSupprimerSonnons là Lally !!!
SupprimerSympa, un p'tit faible pour la face B. J'ai effectivement le 45 tours que tu évoques avec cet inédit "HenryJames" que j'avais proposé dans curiosités vinyles (chopé pour 50 cts !) bien délire cette face B de Lally Scott.
RépondreSupprimerDanzik.
N'étant pas inscrit depuis le début, j'ai sûrement raté quelques pépites ;)
SupprimerP. Sébastien (que j'ai le malheur de connaître) fait la même chose, le truc qui accroche et qui accrochera. Y'a que le genre qui change, mais la méthode est la même. Sauf que de cette qualité, ça rapporte pas grand chose (il n'y aura qu'un "Born to be alive"), et on est souvent obligé de remettre le couvert, d'ou la pléthore d'étrons musicaux que nous ayons à subir lorsque l'on se rend dans l'arrière-pays, pour le mariage ou l'anniversaire d'une cousine éloignée!
RépondreSupprimerIci encore, j'adore le gif qui colle à merveille aux 2 chef-d'oeuvres proposés.
ps: j'aime aussi beaucoup les photos de platine TD ou de chaîne compacte, et dont la vision me donne un coup de jeunesse inespéré!!!
Je n'ai pas bien compris si tu trouvais que ce disque était bon ou l'inverse.
SupprimerSinon je te rejoins sur le calvaire que représente musicalement la plupart des mariages, communions, etc...
"aux 2 chef-d'oeuvres proposés." a un sens péjoratif (ou le vent de Joe le chevelu).
RépondreSupprimerDes fois, je me pose la question de savoir quelle raison pousse des maisons de disque à investir dans des "sous-produits", sachant d'avance que ce ne sera pas vendeur. Ils doivent se dire que dans le tas, y'a bien une "mer**" qui va marcher, et comme cela arrive régulièrement, cela ne cessera pas de sitôt! Mais combien de rêve déçu, combien de drame (je me souviens du célèbre: "Cindy c'est Cindy, Céline c'est Céline"). Ce monde est vraiment impitoyable et improbable...
Pour en revenir a Lally Stott, il mérite une litote ou je dirais que c'est un chanteur qui me laisse sans voix!
Perso j'aurai été capable de l'acheter à sa sortie. Le gars n'a pas une voix exceptionnelle, mais ses morceaux sont efficaces.
SupprimerEt ne pas oublier que les disques improbables d'hier font les bons craignos d'aujourd'hui. Sans eux, point de blog !