1961
(Guilde Internationale Du Disque)
rip 33t 320k
(Guilde Internationale Du Disque)
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J’ai daté l’album de 1961 par rapport au numéro de catalogue car elle n’est pas indiquée sur le disque. Et je ne l’ai pas trouvé sur la toile. Cependant à l’écoute je pense que l’enregistrement est un peu plus ancien. Le son en mono y est rond, avec un charme désuet. Je sais, il crépite par moments un petit feu de bois dans le fond, mais pour les réclamations, adressez-vous à l’ancien propriétaire.
Ce florilège de joyaux m’a permis de mettre un nom sur des morceaux que je connaissais, mais que j’aurai été incapable de retrouver, comme la sautillante et légère « Danse des heures » de Ponchielli. mais encore la merveilleuse « Valse en la bémol » de Brahms.
Boris Mersson, le chef d’orchestre (également pianiste et compositeur), décédé en 2013, était plutôt ouvert car sous le pseudo d’Eddy Mers il a, parallèlement aux disques classiques, enregistré « Paris danse ». A savoir un album de standards comme « Ménilmontant », « Un gamin de Paris », etc… en mode jazz easy listening. Mais aussi « Eddy Mers Improvises », un 45t de jazz dansant.
Les infos le concernant sont rares. Je n’ai à proposer que ce court texte écrit à l’occasion de sa mort :
- Brahms "Valse en la bémol"
Le lien qui rend joyaux
Ce florilège de joyaux m’a permis de mettre un nom sur des morceaux que je connaissais, mais que j’aurai été incapable de retrouver, comme la sautillante et légère « Danse des heures » de Ponchielli. mais encore la merveilleuse « Valse en la bémol » de Brahms.
Boris Mersson, le chef d’orchestre (également pianiste et compositeur), décédé en 2013, était plutôt ouvert car sous le pseudo d’Eddy Mers il a, parallèlement aux disques classiques, enregistré « Paris danse ». A savoir un album de standards comme « Ménilmontant », « Un gamin de Paris », etc… en mode jazz easy listening. Mais aussi « Eddy Mers Improvises », un 45t de jazz dansant.
Les infos le concernant sont rares. Je n’ai à proposer que ce court texte écrit à l’occasion de sa mort :
D’origine russe, né à Berlin, citoyen de Montreux et habitant Zürich, cette personnalité au sourire si sympathique avait tout du cosmopolite. Après avoir donné ces premiers concerts à 10 ans, il étudie le piano à Genève et à Lausanne avant d’étudier la direction d’orchestre auprès d’Hermann Scherchen à Zurich. En tant que pianiste, il a donné des récitals et joué en musique de chambre dans de nombreux pays d’Europe et aux Etats-Unis ; il a en outre enregistré plus de 80 disques et CDs. Parmi ses activités pédagogiques, il a été professeur à la Hochschule für Musik und Theater Zürich. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser d’emblée, les compositions de Mersson, souvent inspirées par le jazz, ne sont pas écrites principalement pour son instrument : on trouve en effet dans son catalogue beaucoup de musique de chambre (quelquefois utilisant des formations rares comme son Sound of Seven pour hautbois, quatre saxophones, contrebasse et percussion), des pièces orchestrales et concertantes, des œuvres pour harmonie ainsi que quelques pièces vocales.
Le lien qui rend joyaux
C'est vrai que les classiques ça le connait Eddy Mers : Paris-Roubaix, Milan-San Remo, Liège-Bastonne-Liège et tous les grands Tours... ;op
RépondreSupprimerEt mettre "La danse des heures" pour un contre-la-montre, ça a plus de gueule qu'Yvette Horner pour supporter Poupou...
Premier arrivé ! C'est toi qui enfile le maillot jaune :)
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