(Repertoire)
rip CD 320k
Steampacket, composé de Long John Baldry, Rod Stewart, Julie Driscoll pour les voix, Brian Auger à l’orgue, Vic Briggs à la guitare, Richard Brown à la basse et Micky Waller à la batterie n’a duré que quelques mois. Les morceaux de ce disque ne sont pas officiellement parus à l’époque. Ils servaient au groupe de démo afin de décrocher des concerts. Le son est néanmoins très bon. Sur les disques parus plus tard, Rod Stewart, vu le succès du Jeff Beck Group, sera évidemment mis en avant sur les pochettes, mais c’est surtout l’orgue du brillant Brian Auger qui personnellement retient mon attention. Les amateurs du son et du jeu d’André Brasseur devraient se régaler !
La seconde partie de ce disque propose des extraits d’un concert de 1964 comprenant notamment la toute première rencontre entre les Yardbirds, alors débutant, et Sonny Boy Williamson II, qui décèdera l’année suivante. Un autre album enregistré au Craw-Daddy Club de Londres en 1965 marquera une dernière fois la collaboration entre l’ancienne et de la nouvelle génération. Future légende du blues !
PS : Spéciale dédicace à Francis ;)
- My Little Cabin
Le lien 2 en 1
Grand merci Jo
RépondreSupprimerJe complète ma collection avec cet album qui m'était inconnu
Vais vite écouter et déjà je me régale avec la photo de pochette……oh la jolie Julie!
A l'époque les musiciens étaient sapés comme des milords ! C'est drôle de voir l'évolution vestimentaire et capillaire des Beatles, par exemple.
SupprimerSuper , je prendrai plus tard. Merci
RépondreSupprimermoi je dis Podium ... euh... WoAoW ... excellent Merci.
RépondreSupprimerJe me demande si c'était pas les mêmes bandes qui avaient été publiées en CD dans les années 90 par les Editions Atlas, dans la célèbre collection orange "Les Génies Du Rock", bien connue des fonds de bacs de brocs.
RépondreSupprimerOui je pense. Le label Charly a fourni pas mal de bandes à Atlas.
SupprimerJulie Driscoll, c'est une énigme. Chanteuse populaire, surdouée, étonnante et craquante à la fin des années 60 avec Brian Auger, elle le quitte pour épouser un autre pianiste, Keith Tippett, change de nom et de look, sort un album ambitieux et magnifique (Sunset Glow), puis plonge dans un style de plus en plus obscur, confidentiel, abscons et déprimant.
RépondreSupprimerJe n'ai pas du tout suivi sa carrière, contrairement à Rod Stewart.
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