1963-74
(Barclay)
rip 33t 320k
En plus d'avoir été un des plus importants producteurs de disques en France, Eddie Barclay était un pianiste autodidacte et chef d'orchestre assez doué. On en parle rarement mais sa discographie est intéressante. Ses fêtes blanches à St Tropez et ses nombreux mariages éclipsant malheureusement tout cela...
Ses disques, dont celui que je vous propose et qui n’est pas courant, paru chez Barclay (étonnant non !!!), semblent ne pas avoir été réédités en CD. Pourtant ils sont du niveau de ceux de Michel Legrand, Paul Mauriat, Raymond Lefevre, etc...
Pour l'anecdote, en écoutant l'intro du fantastique "Lady Milady", j'ai pensé à celle de "Life's What You Make It" de Talk Talk. Eddie Barclay comme influence de Talk Talk... ce serait cocasse !
- Lady Milady
e pas oublier non plus son groupe de rock progressif : Barclay James Harvest... ;-D
RépondreSupprimerEn effet, Lady Milady commence comme Talk Talk mais se poursuit comme du Big Bazar...
Sinon j'aime bien la reprise de Raindrop avec la trompette subtile (C'est pas Borelly)
La reprise la plus surprenante et la plus réussie c'est celle d'un homme et une femme repris à la manière de Claude Bolling et Borsalino...
L'ensemble est classe.
SupprimerJ'aimerai trouver d'autres disques du gars, des années 70, mais ce n'est pas facile...
Je ne savais même pas que sa discographie s'étendait dans les années 70
Supprimer(je ne parle pas d'anciens disques ou chansons antérieurs à 70 et réédités par la suite )
gaby
Ici on est dans les grands standards et les orchestrations sont à leur juste valeur, donc du Easy Listening bien produit.
RépondreSupprimerN'oublions pas que Barclay a aussi produit des trucs plus improbables tels Sweet Loukoums que j'ai proposé récemment et qui fut délibérément ignoré de nos bloggeurs. Mais Barclay faisait cela aussi du bon et du mauvais goût .
Les labels sont là pour faire du fric, mais certains sont plus aventureux, ouverts, éclectiques. J'ai même l'impression qu'on parle d'un temps révolu...
Supprimerdu vrai Eddy Listening en effet, savait faire autre chose que ses soirées en blanc le gus.
RépondreSupprimerOui, des soirées en jaune... hic !
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