1984
Editions Dany Marchetti
(Hors Commerce)
rip 33t 320k
(Hors Commerce)
rip 33t 320k
S'il y avait une échelle en matière de craignos, comme pour les catastrophes, ce disque s'approcherait à l'aise du 9 sur 10 (toujours laisser une marge pour le graal).
Franchement, Comme cadeau aux salariés pour les 50 ans de la marque... Ils ne se seraient pas un peu payées leurs têtes ?... Genre les dirigeants claquent un max en champagne et petits fours, et regardent ensuite ce qu'il reste pour le disque. Et vu le niveau des chansons, il ne devait pas rester lourd !
Le bon côté, est que ça donne au final un album craignos comac ! "Les vacances c'est ça", "C'est merveilleux quand on est deux", "Bruce Lee"... C'est kitsch, décalé, et c'est justement ça qui est chouette à présent !
Franchement, Comme cadeau aux salariés pour les 50 ans de la marque... Ils ne se seraient pas un peu payées leurs têtes ?... Genre les dirigeants claquent un max en champagne et petits fours, et regardent ensuite ce qu'il reste pour le disque. Et vu le niveau des chansons, il ne devait pas rester lourd !
Le bon côté, est que ça donne au final un album craignos comac ! "Les vacances c'est ça", "C'est merveilleux quand on est deux", "Bruce Lee"... C'est kitsch, décalé, et c'est justement ça qui est chouette à présent !
02 Les vacances c'est ça ! (Marche) (Pierre d'Arcey, JP Surimeau, G Blaness)
03 La valse des souvenirs (Pierre d'Arcey, JP Surimeau, G Blaness)
04 La magie du charleston (Pierre d'Arcey, JP Surimeau, G Blaness)
05 Des rêves de tango (Pierre d'Arcey, JL de Tiviera, JP Surimeau, G Blaness)
06 Un Français à Madrid, ollé! (Paso) (R Nicaul, M Larcange, G Blaness)
07 C'est merveilleux quand on est deux (Salsa) (Pierre d'Arcey, JP Surimeau, G Blaness)
08 Bruce Lee (Disco) (S Fouchet, R Nicaul, G Blaness, JP Surimeau)
09 Vivre sans elle (Slow) (Pierre D'Arcey, Franck Michaël)
10 Ne t'en vas pas, sans moi (Disco) (Ellair, JP Surimeau, G Blaness)
11 Rien ne sert de courir (Rock) (Ellair, R Nicaul, JP Surimeau, G Blaness)
12 Le petit ours bleu (Indicatif final) (Ellair, JP Surimeau, G Blaness)
Pour trouver la joie de vivre ou l'envie d'ouvrir le gaz, c'est selon, le lien est ici
Moins corporate, mais plus fun dans les 80's :
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=Erc0G-nPFDY
La musique d'entreprise c'est casse-gueule, sauf quand c'est fait par des pros (à quelques exceptions près, j'ai des trucs de mecs de HASSEN CEHEF qui sont pas mal et pas lèche-bottes) ... c'est possible !!
Grosse contre-publicité et contre-productivité, dans les 80's des gus se servaient de bouteilles de Butagaz pour faire des bombes d'où ce genre de démarche ... le gaz c'est cool ... sauf ton méthane que tu balances dans l’ascenseur aux heures de pointe !!
Je me demande si Jo Butagaz et ses brûleurs n'étaient d'ailleurs pas du nord... Je voyais souvent des affiches d'eux quand j'étais jeune. Voilà un nom de groupe qu'on oublie pas ! Comme Bernadette Soubirou et ses apparitions, mouarf !
RépondreSupprimerLa butagaz ou la cocotte, la méthode artisanale...
Le programme semble particulièrement réjouissant, aussi je sollicite un ré-up si possible. Merci !
RépondreSupprimerJe le note ;)
SupprimerOhlala, quel dossier ! Le premier morceau ça pourrait passer, c'est juste un indicatif publicitaire, bleu bleu bleu. Ça se complique dès le deuxième titre, avec une évocation cauchemardesque des vacances - pour dissuader les employés Butagaz de poser leurs rtt ?! La suite est pas beaucoup mieux, avec un accent ibérique pas extrêmement crédible sur le tango. Le pétage de plomb atteint son paroxysme dans C'est Merveilleux Quand Est Deux, avec un chant entre délirium tremens et coma éthylique. Et Bruce Lee enfonce le clou, obsession des nunchakus, pourquoi ? Ça restera sans doute un mystère. Intro de Ne t'en Va pas sans Moi pompée sur Amoureux Solitaires de Lio. La défonce au gaz, est-ce possible ?
RépondreSupprimerC'est le premier disque parfumé au protoxyde d'azote ! :oD
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