vendredi 26 juin 2020

V.A. Don't Let Me Be Misunderstood (59 versions) Vol.1


« Don't Let Me Be Misunderstood » est une chanson écrite par Bennie Benjamin, Gloria Caldwell (en vérité son mari, mais pour une histoire de contrat…) et Sol Marcus pour la chanteuse et pianiste de jazz Nina Simone, qui l'a enregistrée pour la première fois en 1964. "Don't Let Me Be Misunderstood" a été enregistrée ou jouée par de nombreux artistes. La chanson est largement connue par la version blues rock enregistré en 1965 par The Animals. L’interprétation disco latine de 1977 par Santa Esmeralda a également été un énorme succès.
Il y a donc trois écoles, pour trois versions radicalement différentes. Personnellement je n'ai pas de préférence, le morceau étant parfait, pour peu que l'interprète ait du talent il en fera un tube. C’est plus une question d'humeur et de moment, Nina au réveil (oui, enfin, je me comprends… rangez les gros sabots !), The Animals dans la journée (no comment), et Santa Esmeralda en soirée (le rythme, les danseuses, les mojitos… Irrésistible !). Je ne sais pas, moi dans cet ordre ça me paraît évident. Et vous ?…
Comme d’habitude, il s’agit d’une sélection. Certaines reprises sont donc absentes, parce qu’elles ne me plaisaient pas, parce qu’elles étaient des copies de versions déjà présentes (notamment en mode jazzy lounge. Innombrables !) ou simplement parce qu’introuvables. Cependant si vous avez matière à constituer un volume 4, ne vous gênez pas ! :)

mercredi 24 juin 2020

Carol Douglas - Maxi (1976)

1976
(RCA)
rip maxi 320k
L’adaptation de « Comme d’habitude » en anglais, « My Way », est toujours cité en référence comme adaptation à succès. A mon avis il y en a eu d’autres, qu’il serait intéressant de répertorier d’ailleurs. Autre exemple, avec la chanson de Pierre Groscolas, « Ma jeunesse au fond de l'eau » (face B du 45t « Elise »), devenant « Midnight Love Affair ». La comparaison n’est pas évidente tant cette dernière est métamorphosée. A raison, indéniablement, vu que « Midnight Love Affair » se hissa n°1 du chart Disco américain en 1976. Une semaine, mais c’est déjà une performance.
Toutefois, ce qui me plairait d’apprendre, dans ces adaptations de chansons françaises, alors qu’à 99,9 % c’est généralement l’inverse, c’est comment l’idée arrive… Parce qu’adapter, deux ans après, une chanson de Groscolas en mode disco, c’est original ! Est-ce que la version interprétée par Tony Orlando & Dawn, plus proche de celle de Groscolas, n’aurait pas donné cette idée d’une version disco…
« In The Morning » qui s’enchaine à « Midnight Love Affair » sur l’album, est dans la lignée. Irrésistiblement dansante, et suave à souhait !

A) Carol’s Theme I / Midnight Love Affair / Carol’s Theme II (E. Levitt - P. Groscolas - M. Jourdan)

B) Carol’s Theme II / In The Morning (J. Davis)


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lundi 22 juin 2020

Jacques Delépine - 45t (1971)


1971
(Polydor)
rip 45t 320k

⭐⭐⭐⭐

Avant toutes choses, je me dois de préciser que le 45t (encore merci Seric) qui m’a donné envie d’acheter celui du jour est toujours dispo ici :
Concernant ce grand interprète, à la petite discographie, qu’est Jacques Delépine, très peu d’infos sont disponibles. Toutefois une courte bio a été écrite par une personne également sous le charme de cette belle voix, et de ces chansons aux arrangements superbes :
La version originale de « Julie » est « Julie, Do Ya Love Me » de Bobby Sherman, parue en 1970. Je l’ai ajouté en bonus.
Jacques Delépine l’accélère un peu, mais sa version est, à mon goût, peut-être meilleure que celle de Bobby Sherman. La voix surtout.
« Il parlera bientôt » est de ces chansons planquées en face B qui aurait mérité de connaitre un énorme succès. Il s’agit d’une chanson très émouvante sur l’exil d’un père, à la recherche de moyen pour faire vivre sa famille. Si seulement un artiste actuel pouvait lui donner une seconde chance…
J’espère un jour pouvoir acquérir les autres 45t. Car Jacques Delépine n’a pas enregistré d’album. C’est vraiment dommage vu son talent…

A) Julie

B) Il parlera bientôt

Bobby Sherman « Julie, Do Ya Love Me » (1970)

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dimanche 21 juin 2020

Christian Di Maccio et son accordéon - Vol.9 (1976)


1976
(Les Tréteaux)
rip 33t 320k
En écoutant cet accordéoniste, que je ne connaissais pas, je me dis qu’il avait un truc en plus. Une dextérité, sans en faire trop, et de l’élégance dans le jeu.
Puis en tombant sur cette bio http://www.orchestre.com/musiciens/christian-di-maccio.html afin de préparer la présentation, j’ai eu la confirmation que Christian Di Maccio était destiné à une grande carrière. Et même si la mort en 1993 l’a fauché à 52 ans, il a eu le temps d’accomplir un parcours dont bon nombre de musiciens rêveraient.
Curieusement ses disques ne se trouvent pas si facilement. Peut-être est-ce le fait qu’une bonne partie est parue au Canada.
A signaler l’excellent son de ce « Vol.9 ». En plus d’être bien accompagné par l’orchestre de Daniel Janin. Qui offre deux instrumentaux au passage (Je pense cependant qu’il s’agit de versions instrumentales de chansons de Nancy Holloway parues sur son album, en 1976 également).

- Tu me fais planer


Le lien qui fait planer

vendredi 19 juin 2020

Raydio - 45t (1977)

1977
(Arista)
rip 45t 320k
A part « Ghostbusters » (1984) j’aurai été incapable de citer un autre titre de Ray Parker Jr. ! C’est en voyant son nom sur ce 45t de 1977 que j’ai découvert qu’il avait fait partie d’un groupe, Raydio. « Jack And Jill », extrait du premier album, a été un hit aux USA. Je ne le connaissais pas.
C’est du bon funk, groovy et parfaitement produit par Ray en personne. J’ai vraiment envie d’en écouter plus !
En me renseignant j’ai vu qu’il avait aussi joué de la guitare derrière des cadors, Stevie Wonder, Lamont Dozier, Herbie Hancock, Diana Ross, etc… Raison de plus pour creuser sa discographie.
PS : TonTon avait placé ce 45t dans une compilation, mais je n’ai apparemment pas la même face B, malgré le même titre. Vous avez dit bizarre… ;)

A) Jack And Jill (Ray Parker Jr.)

B) Get Down (Ray Parker Jr.)


 lien de secours

jeudi 18 juin 2020

Les Aristochats - EP (1971)


1971
(Disneyland)
rip EP 320k
« Les Aristochats », interprété en français et en anglais, demeure l’ultime enregistrement de Maurice Chevalier. Alors retiré des affaires après une tournée d’adieu en 1968.
S’il accepta c’est par amitié pour Walt Disney, décédé en 1966. Il y a d’autres versions de cette chanson, par Jacques Martin et Henri Salvador, notamment. Mais celle de Chevalier est certainement la plus ancienne.
« Maurice Chevalier accepte par amitié pour Walt Disney. Ce fut là sa dernière prestation car il meurt le 1er janvier 1972. Au sujet de sa participation, Maurice Chevalier écrit, dans une lettre adressée à Bill Anderson, qu'il n'aurait « accepté pour personne d'autre et quelle que soit la somme proposée, sauf pour l'honneur de montrer l'amour et l'admiration pour le seul et unique Walt ». La version avec Maurice Chevalier n'est toutefois pas présente sur le disque sorti chez Disneyland Records ».
En ce qui concerne les interprètes des autres chansons de cet EP, je n’ai pas trouvé d’infos.
Honnêtement, pas de quoi se relever la nuit, mais entendre Maurice Chevalier chanter « Les Aristochats », c’est plutôt cocasse !

A1 Les Aristochats (interprétée par Maurice Chevalier)

A2 Thomas O'Malley
B1 Tout le monde veut devenir un "Cat"
B2 Des gammes et des arpèges

L’aristo lien

mardi 16 juin 2020

Jon-Mikl Thor - Recruits (Wild In The Streets) (1986)


1986
(GWR)
rip 33t 320k
Musicalement, le groupe mené par un culturiste canadien (aucun rapport avec Les Musclés)  ne brille ni par sa virtuosité ni par sa puissance de feu. C’est du heavy metal basique, efficace et bien produit. C’est déjà pas mal !
Vocalement le chanteur fait le job. Dans sa catégorie ce n’est ni le meilleur, ni le pire.
Du côté des chansons… idem. Cela s’écoute agréablement, sans être renversant.
Bon, après une telle description j’ai conscience que beaucoup passeront leur chemin en ayant oublié ce qu’ils viennent de lire dans la seconde.
Cependant, après avoir acheté cet album au feeling, je n’ai pas ressenti l’envie de m’en séparer en le posant sur la platine. Alors même si Jon-Mikl Thor (Thor de 1977 à 1985) ne fait pas partie des cadors du genre, il pourra peut-être intéresser les amateurs de Manowar, Twisted Sister, WASP…
Ce qui m’a au final décidé à le ripper, est qu’il ne semble pas réédité. A raison… ou à Thor ?…

- Heartbreak Choir


Le lien qui donne Thor

lundi 15 juin 2020

Etienne Auberger - 45t (1986)


1986
(Philips)
rip 45t 320k
Auparavant dans le « monstrueux » groupe de Strasbourg Loch Ness. Etienne Auberger a enregistré un album, d’où trois 45t seront extraits. D’après une interview de l’époque il avait signé pour trois albums. Où sont les deux autres ?… Il faut dire que seul le premier 45t aura du succès. Enfin, perso j’en avais gardé un vague souvenir (après l’avoir acheté au feeling).
Sur ce premier 45t, que je propose aujourd’hui, la face B est inédite. Je la préfère d’ailleurs à la face A, très Top 50.
La production est typique de l’époque. Pas ce que j’apprécie le plus, mais ce sera pire les prochaines décennies. Ici ça reste sympa à écouter.
Apparemment ces chansons ne sont pas rééditées.

A) Ô Sophie

B) Avant c'était mieux

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samedi 13 juin 2020

Rick Unter - 45t (1984)


1984
(Palomina Palomino)
rip 45t 320k
(merci Richard)
Aujourd’hui je vous propose un 45t qui ne sort pas de mes étagères. Ce disque m’a en effet été envoyé par l’interprète en personne. Qu’il en soit grandement remercié, car la démarche n’est pas si courante.
Au départ Richard Stamper (Rick Unter étant un pseudo) m’a contacté à propos des disques de reprises où apparait anonymement J.M. Caradec. Ayant en 1987 repris une chanson, « Dors avec ton bébé », de ce chanteur qu’il apprécie comme moi particulièrement.
De fil en aiguille, après quelques échanges, est venu l’idée de partager ce 45t, qui a une histoire que Richard m’a expliqué, et que j’aimerai retranscrire dans cette présentation, afin de remettre dans le contexte. La CB a marqué son époque, mais je pense que ce moyen de communication, à l’instar du minitel, ne parlera pas aux plus jeunes :)
Place donc aux infos qui aideront à comprendre le phénomène CB et par extension ce 45t :
« En fait « Utilité publique » est un texte parlé que j’avais composé pour le Tour de France de l’association « Echec et Mat » en mars 1982 et que j’interprétais à chaque ville étape lors du meeting (que je présentais en qualité d’animateur, métier que j’exerce encore un peu avant la retraite). À l’époque c’était pour demander une législation plus large que les 40 canaux, nous demandions alors que chaque cibiste ville par ville signe la pétition afin de les déposer au ministère de la Communication au terme de ce mois. Le nombre des 50 000 prévus n’avait pas été atteint un peu plus toutefois de la moitié de ce nombre, mais la législation n’a jamais bougé.

Le magazine de l’époque « QSO MAGAZINE » avait réalisé la pochette et un très bel article que je n’ai plus d’ailleurs et que j’aimerais retrouver.

À noter que le disque fut enregistré fin 1983 et paru en début 1984.

La production fut l’œuvre d’un cibiste d’Alès et dont les bénéfices s’il y en avait eu auraient été versés à la lutte contre le cancer.

La face B est un rock qui m’a donné ensuite d’en composer d’autres…

Voilà Jo « bonne écoute » et au plaisir de voir sur votre site votre sentiment sur mes deux compos »

« En prolongement de votre courriel ci-dessous, je vais apporter une anecdote supplémentaire pour la présentation de mon premier 45 tours. C’est vous qui jugerez.

Lorsque j’ai débuté dans la CB mon patronyme était Rick tout court. Lorsque l’opportunité c’est présenté d’enregistrer « Utilité publique » j’ai cherché à ajouter quelque chose de plus. À cette période France Inter avait comme slogan « Écoutez la vie écoutez Inter ».

Ça a fait tilt en moi et pour ne pas reprendre le mot dans la même orthographe j’ai changé le « i » en « u ».

Cela m’a desservi un temps avec la série américaine apparue sur les écrans en France à partir du 7 janvier 1988.

Beaucoup me disait que j’avais plagié et je me devais d’expliquer en prouvant l’antériorité du pseudo avec mes compositions et mon métier de DJ et animateur artistique »

A) Utilité publique

B) Passion

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jeudi 11 juin 2020

The Sweet - The Outtakes (1995)


1995
(WZ)
rip CD 320k
Suite au récent décès de Steve Priest, après celui de Brian Connolly en 1997 et Mick Tucker en 2002, il ne reste donc plus qu’Andy Scott pour maintenir la flamme du fantastique Sweet…
Histoire de ne pas remonter d’anciens posts, j’ai cherché ce que je pouvais à nouveau proposer de rare sur le groupe. Et ce disque me parait un bon complément de la série parue chez Receiver et dispo sur le blog. Une bonne partie des prises alternatives de ce « Outtakes » étant différentes, voir avec un meilleur son (enfin, de mémoire). Cette sélection (Bootleg ?…) est sublime, et donne à entendre le meilleur du répertoire rock du groupe. Même si la période pop bubblegum, avant 1973, vaut également le détour.
En extrait, « Teenage Rampage » sans overdubs.

- Teenage Rampage


Les zoutèques sont dans le lien

mardi 9 juin 2020

Van McCoy & The Soul City Symphony - 45t (1975)


1975
(Philips)
rip 45t 320k
Je n’irai pas jusqu’à dire que tout le monde connait « The Hustle », mais qui n’a pas déjà entendu ce tube au moins une fois ?… Pour autant je pense que peu de personnes pourraient citer l’auteur.
De plus, à part ce tube soul disco, que connait-on d’autre de lui finalement ?… D’où l’envie de proposer ce 45t, car « Hey Girl, Come And Get It » est aussi irrésistible.
Après, si l’envie vous titille de pousser plus loin la découverte, je pense que les albums et compilations ne doivent pas être compliquer à trouver.
Cependant étant mort d’une crise cardiaque à 39 ans, Van McCoy n’aura pas eu le temps de profiter du succès. Et nous de son immense talent. Même si son premier album date de 1966, c’est « The Hustle » qui le rendra populaire en 1975.

A) The Hustle (Van McCoy)

B) Hey Girl, Come And Get It (Hugo & Luigi - George David Weiss)

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lundi 8 juin 2020

Camille Saint-Saëns - Le carnaval des animaux (raconté par Daniel Ceccaldi, 1974)

1974
(Disneyland)
rip 33t 320k
L’avantage avec ce disque c’est que Daniel Ceccaldi remet l’œuvre et le compositeur dans le contexte au début de celui-ci. Il n’y a rien à ajouter :)
Je pense qu’il est inutile de vous présenter cet élégant acteur ayant marqué les 60s et 70s.
Ce disque je l’écoutais enfant avec ma mère. Est-ce par ce biais que j’ai développé une passion pour la musique classique, ou devrais-je la musique, tout simplement ?… Quelque part je suis tenté de le croire, en partie.
Daniel Ceccaldi a enregistré quelques autres disques comme narrateur, mais rien dans la chanson apparemment. Hormis celle sur le 45t craignos de l’oiseau Antivol, que j’avais proposé sur le blog.
Cet album de 1974 ne parait pas réédité. Mais je n’ai pas fouillé des heures la toile pour être franc.
PS : A la fin de la face A vous reconnaitrez la musique d’un festival n’ayant pas eu lieu cette année dans sa forme habituelle ;)

- Le cygne


Le lien des animaux

samedi 6 juin 2020

Guske Lancier - 45t (1968)

1968
(Granata)
rip 45t 320k
Enfin, après de longues semaines de rideaux baissés pour cause de covid les restos ont rouvert ! Ok, trois mois dans une vie sans un steak frites il y a pire supplice. Néanmoins, je tenais à fêter mon retour hier dans ma brasserie préférée en proposant ce 45t inouï (c’était l’occasion ou jamais pour tout dire :) Disque, à la base, uniquement acheté pour la pochette et les titres amusants. A l’écoute, est-ce qu’il vaut les picaillons ?… Heuuu… Je vais juste dire que s’il plait à une personne, ce sera déjà ça.
Sinon, je n’ai jamais entendu parler ni de ce chanteur, ni de ce label. Qui devait couvrir un territoire assez limité. Mes amis belges ne me contrediront pas je pense.
Et conclure en disant que ce genre de chansons est désuet est un doux euphémisme. En 1968, à l’heure du « Electric Ladyland » d’Hendrix, du « Waiting For The Sun » des Doors ou encore du « Initials B.B." de Gainsbourg… Le décalage prend la forme d’un gouffre !

A) Smak, Smak, Smak (Nikuta, G. Lancier - S. Rowan)

B) Beefsteak Frites (Nikuta, G. Lancier - S. Rowan)

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vendredi 5 juin 2020

Tony McKenzie - Maxi (1983)


1983
(Déesse)
rip Maxi 320k
Il y a quelques jours j’avais proposé son deuxième disque, « Lolita », en écrivant que je le trouvais moins bon que « Ha-Chica ». Voici donc ce premier enregistrement.
Le morceau est bien construit, le rythme très dansant et les cuivres dosés juste ce qu’il faut. Pour moi c’est du bon funk qui groove, et je ne m’en lasse pas depuis 1983 !
Le mix de l’instrumental est également sympa. Il y a eu du travail dessus.
Ce sont les deux seuls maxi que j’ai de Tony McKenzie. Mais je ne suis pas sûr d’être vraiment intéressé par le reste de sa discographie.

A) Ha-Chica

B) Ha-Chica (Instrumental Re-Mix Version)


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Hommage à Steve Priest


C'est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre la mort de Steve Priest à 72 ans. Bassiste du groupe culte The Sweet. Fantastique groupe qui a énormément contribué à la passion que j'ai pour la musique. Il a été l'un des premiers pour lequel j'ai cherché un par un les 45t sur les brocantes, à une époque où leurs disques étaient peu réédités. Aujourd'hui encore The Sweet est un de mes groupes préférés. Vous le savez d'ailleurs si vous suivez régulièrement ce blog, où se cache quelques raretés.
J'ai une pensée pour Andy Scott qui voit partir un à un les membres du groupe. Bien que séparés, ils étaient toujours en contact.
Au revoir Steve, et merci pour le bonheur qui tu as diffusé à travers ta musique.

mercredi 3 juin 2020

José Ballestro - 45t (1971)

1971
(Vogue)
rip 45t 320k
A défaut de pouvoir écrire autour de José Ballestro, pour lequel les infos sont inexistantes (un pseudo ?), voici toujours une chouette version à ajouter à la compilation du fameux hit de Peret.
http://leboncraignos.blogspot.com/2017/02/va-borriquito-en-15-versions.html
La face B, « Ay ! Caramba » est du même tonneau. A partir des crédits j’ai trouvé que la chanson avait précédemment été chanté par Los Marimberos, dès 1962.
Au final, ce petit 45t rétro, festif, et pas si courant, est délicieusement craignos :)

A) Borriquito (Peret)

B) Ay ! Caramba (Don Diego - Luis Gody)


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Claude Dauray - Parade des succès n°25 (1977)


1977
(Vygson)
rip 33t 320k
J’avais complètement oublié que l’interprète de « On doit savoir partir » était Michaël Raitner. Clone de Mike Brant, qui ici ressemble à une caricature de caricature. Cocasse !
Oublié également « Le temps du swing » de Sylvie Vartan, adaptation du « House of swing » de Sparrow. Enfin, n’ayant pas trouver l’original je n’ai pas pu comparer.
Idem pour « Sirop rock'n'roll » d’Eddy Mitchell, face B de « La fille du motel ». Cette adaptation de Chuck Berry a vraiment été un succès ?!?
Sinon, à part les deux inédits habituels, il y a du lourd ! Super bien repris d’ailleurs. Que ce soit ABBA, Rémy Bricka, La bande à Basile, Stevie Wonder et Martin Circus.
Par contre Claude François et Joe Dassin, comme toujours, sont risibles tellement le trait est forcé.
PS : Zéro pointé également pour la pochette. La nana est presque effrayante. Une drôle d’idée d’avoir choisi ce cliché !

- La vie en couleur


Le lien en couleur