vendredi 22 octobre 2021
merci
Merci à tous pour vos messages de soutiens. Je suis chez moi de ce jour. Santé précaire, j'espère aller mieux rapidement de ce mal d'origine inconnu des spécialistes.
mercredi 13 octobre 2021
NOUVEAUX LIENS : Amii Stewart - Bobby Marty - Elisabeth - California Beach Orchestra
mardi 12 octobre 2021
Aldo Ciccolini - Récital Franz Liszt (1958)
1958
(Trianon)
Rip 33t 320k
(Trianon)
Rip 33t 320k
Il n’y a rien à redire concernant le pianiste (décédé en 2015), c’est une pointure et Liszt fait partie des compositeurs qu’il affectionne. Cependant, personnellement, Liszt me laisse de marbre. Les notes s’égrainent, c’est harmonieux, mais je ne ressens rien, ou si peu. J’y décèle bien un soupçon de mélancolie dans ses compositions, que je pense relever du romantisme, mais malgré trois écoute je n’ai toujours pas eu le déclic. Si ce post intéresse quelqu’un, j’aimerais volontiers avoir son avis, histoire de comprendre mon blocage. Car la musique romantique, j’aime habituellement.
dimanche 10 octobre 2021
Who's Who - Maxi (1979)
1979
(Carrère)
Rip Maxi 320k
(Carrère)
Rip Maxi 320k
Daniel Vangarde = Daniel Bangalter > Thomas Bangalter = Daft Punk. Et à l’écoute, tout s’éclaire ! Vangarde était même un précurseur car bien que ce son présentant des similitudes avec Patrick Cowley, ce dernier ne sortira son premier disque personnel qu’en 1981. Cependant il y avait l’amorce dans son travail avec Sylvester.
Ce maxi, je le définirais comme faisant le lien entre Juvet et Cowley. C’est intéressant, et me donne envie de découvrir l’album. Seul projet sous ce pseudo.
Je ne sais pour vous, mais pour moi, ce genre de curiosité me coupe le sifflet !
Ce maxi, je le définirais comme faisant le lien entre Juvet et Cowley. C’est intéressant, et me donne envie de découvrir l’album. Seul projet sous ce pseudo.
Je ne sais pour vous, mais pour moi, ce genre de curiosité me coupe le sifflet !
A) Palace Palace (D. Vangarde)
B) Dancin' Machine (D. Vangarde)
vendredi 8 octobre 2021
Deuces Wild - Living in the Sun (1991) + Maxis
1991
(Columbia)
Rip CD 320k
(Merci Arnaud)
(Columbia)
Rip CD 320k
(Merci Arnaud)
“De la pop radio-friendly et bien produite made in Germany sortie sous le nom de Deuces Wild. Il s'agit d'un projet parallèle des deux fondateurs du groupe munichois Münchener Freiheit. Ce groupe a eu pas mal de succès en Allemagne dans les années 80, mais a peu réussi ses sorties à l'international, hormis toutefois le petit hit beatlesque "Keeping the Dream Alive" de 1988.
Donc en 91, Stefan Zauner et Aaron Strobel imaginent, sans doute non sans raison, qu'il vaudrait mieux essayer de percer à l'étranger sous une appellation anglophone plus aisément prononçable que Münchener Freiheit. Hélas, là encore, ça va faire flop.
On peut aimer ou non, mais Stefan Zauner a la particularité d'harmoniser sa propre voix, ce qui rend les productions immédiatement bien identifiables.
Moi, j'aime beaucoup Münchener Freiheit, et par la suite les disques de Zauner. Puisque désormais il fait ça sur son Mac chez lui avec sa copine. Des trucs dans un style plus dance par contre.
En tout cas, pour moi, Deuces Wild est plutôt sympa et peut donner l'envie d'en écouter davantage en allemand, avec Münchener Freiheit, pour ceux qui découvriront. Il n’y a pas grand chose à jeter dans ces 11 titres.
En bonus, j’ai mis les versions radio et maxi des deux titres qui avaient été édités en CD singles”.
Au message d’Arnaud accompagnant ce partage, qui est pour moi une découverte, j’ajouterai juste que dans le travail des voix j’y ai retrouvé un peu de ELO. C’est clairement le point fort de l’album. Par contre, musicalement, certaines sonorités typiquement 80s sonnent à présent kitsch.
Donc en 91, Stefan Zauner et Aaron Strobel imaginent, sans doute non sans raison, qu'il vaudrait mieux essayer de percer à l'étranger sous une appellation anglophone plus aisément prononçable que Münchener Freiheit. Hélas, là encore, ça va faire flop.
On peut aimer ou non, mais Stefan Zauner a la particularité d'harmoniser sa propre voix, ce qui rend les productions immédiatement bien identifiables.
Moi, j'aime beaucoup Münchener Freiheit, et par la suite les disques de Zauner. Puisque désormais il fait ça sur son Mac chez lui avec sa copine. Des trucs dans un style plus dance par contre.
En tout cas, pour moi, Deuces Wild est plutôt sympa et peut donner l'envie d'en écouter davantage en allemand, avec Münchener Freiheit, pour ceux qui découvriront. Il n’y a pas grand chose à jeter dans ces 11 titres.
En bonus, j’ai mis les versions radio et maxi des deux titres qui avaient été édités en CD singles”.
Au message d’Arnaud accompagnant ce partage, qui est pour moi une découverte, j’ajouterai juste que dans le travail des voix j’y ai retrouvé un peu de ELO. C’est clairement le point fort de l’album. Par contre, musicalement, certaines sonorités typiquement 80s sonnent à présent kitsch.
mercredi 6 octobre 2021
Andy Anderson - 45t (1978)
1978
(RCA)
Rip 45t 320k
(RCA)
Rip 45t 320k
Après un dernier album, en 1977, de Soulful Dynamics (essentiellement connu pour le hit “Mademoiselle Ninette”, en 1970). Andy Anderson enregistrera une poignée de 45t jusqu’en 1986. Celui-ci est le premier en solo. Il a certainement fonctionné un peu en France car “Sally” était encore en mémoire, bien que j’avais oublié l’interprète.
Derrière le joueur de air castagnettes sur la pochette, nous trouvons musicalement parlant un mix de Boney M et d’Eddy Grant. C’est sympathique, mais pas de quoi mettre les poils au garde à vous.
Derrière le joueur de air castagnettes sur la pochette, nous trouvons musicalement parlant un mix de Boney M et d’Eddy Grant. C’est sympathique, mais pas de quoi mettre les poils au garde à vous.
A) Sally (Don't Throw Your Life Away) (Frederick A. Anderson)
B) Doing It To Me (Frederick A. Anderson)
Lien de secours
lundi 4 octobre 2021
Steve Alder - 45t (1979)
1979
(Philips)
Rip 45t 320k
(Philips)
Rip 45t 320k
Musicalement ce 45t disco pop est bien fichu. Notamment la basse, très en avant. Hélas (c’est là qu’est l’os !), vocalement ce n’est pas renversant. La face B étant instrumentale, j’ai pris plus de plaisir à son écoute.
Le disque, unique, étant rare et le chanteur discret sur la toile, je ne peux en dire d’avantage. Est-ce le même qui joua dans des comédies musicales dans les 70s, puis des séries TV dans les 80s, ou un homonyme ?… Dans le premier cas il est décédé en 1997, à 47 ans seulement.
Le disque, unique, étant rare et le chanteur discret sur la toile, je ne peux en dire d’avantage. Est-ce le même qui joua dans des comédies musicales dans les 70s, puis des séries TV dans les 80s, ou un homonyme ?… Dans le premier cas il est décédé en 1997, à 47 ans seulement.
A) Harmony (Gérard Kenny)
B) One Day Melody (Instrumental) (Tony Swain / Steve Jolley)
Lien de secours
samedi 2 octobre 2021
Steve Somerset and his orchestra - Dancing Party (196-)
196-
(Vogue)
Rip 33t 320k
⭐⭐⭐
(Vogue)
Rip 33t 320k
⭐⭐⭐
L’orchestre de Steve Somerset existe-t-il réellement où est-ce un concept de Vogue ?… Les deux mon capitaine ! Sauf que, par recoupement, il me semble qu’il s’agit en fait de l’orchestre de Jean-Daniel Mercier. Vogue ayant certainement jugé que le blaze Steve Somerset était plus dans le vent, comme on disait dans les 60s. Le même Jean-Daniel Mercier se cachant derrière le Wooden orchestra, aussi sur… Vogue.
Une fois l’énigme levée, passons au contenu du disque. Et là, pour qui apprécie l’easy listening, c’est musicalement parlant du velours. Et au niveau des arrangements et de l’orchestration on atteint des sommets dans le merveilleux. C’est délicat, suave, élégant… Oh que j’aime ! Le super pif j’ai eu en allongeant la mitraille pour cet album. Qui s’avère de surcroît rare.
Si vous ne succombez pas à l’écoute de l’extrait, je mange mon galure !
Une fois l’énigme levée, passons au contenu du disque. Et là, pour qui apprécie l’easy listening, c’est musicalement parlant du velours. Et au niveau des arrangements et de l’orchestration on atteint des sommets dans le merveilleux. C’est délicat, suave, élégant… Oh que j’aime ! Le super pif j’ai eu en allongeant la mitraille pour cet album. Qui s’avère de surcroît rare.
Si vous ne succombez pas à l’écoute de l’extrait, je mange mon galure !